Les montres sont ces accessoires qui restent indispensables pour parfaire un look. Passe partout de la mode, la monde épouse quasiment toutes les façons de s’habiller. Elles demeurent pour autant complexes de par sa constitution.

Les montres automatiques un travail complexe

Surtout les montres automatiques. Bijoux d’un travail artisanal complexe, la montre automatique offre cependant une méthode de fonctionnement simple. Cette différence entre ce qu’elle veut véhiculer fait d’elle un objet tant convoité surtout la montre automatique pour homme qui reste un indémodable de plusieurs grandes sélections.

Montre mécanique et montre automatique

Contrairement aux montres à quartz qui nécessitent l’énergie d’une pile ou d’une batterie, les montres mécaniques fonctionnent indépendamment. Il est cependant nécessaire de remonter la montre manuellement ou à l’aide d’un tourne-montre.
Une montre mécanique fonctionne grâce à un ressort en forme de spirale, appelé « ressort de barillet ». Tendu, il stocke de l’énergie qu’il relâche lorsqu’il est détendu. Une montre mécanique standard nécessite qu’on remonte le mécanisme quotidiennement.

Les montres automatiques, quant à elles, se remontent grâce aux mouvements du porteur, qui créent de l’énergie. Elles ont donc besoin d’être remontées moins fréquemment. Un peu moins précises queles montres à quartz, elles ont l’avantage d’être plus durables.

Histoire de la montre automatique

Il est communément admis que c’est l’horloger suisse Abraham-Louis Perrelet qui inventa le mécanisme de remontage à rotor en 1777. Il appela les montres issues de cette découverte « montres à secousse » car elles fonctionnent grâce aux mouvements de leur porteur.
Cependant, d’autres documents permettent quant à eux d’affirmer que c’est l’horloger liégeois Hubert Sarton qui fut à l’origine des premiers mécanismes de remontages à rotor en 1777.

La montre au poignet

Par la suite, la popularisation de la montre-bracelet donna un nouveau souffle à la montre à remontage automatique. En effet, les mouvements du poignet étaient trop forts et il fallait trouver un mécanisme moins sensible aux mouvements que le précédent.
En 1924, les anglais John Harwood et Harry Cutis déposèrent un brevet pour un mécanisme comportant une masse (ou rotor) qui pivotait de deux cotés pour plus de stabilité. Néanmoins, il n’était pas possible d’utiliser un remontoir, la boîte contenant les mécanismes étant scellée.

Cela poussa d’autres horlogers à contourner ce problème, et ainsi naquirent les différents modèles de montres automatiques que nous connaissons aujourd’hui.

Mécanique, automatique, manuelle ?

La montre mécanique est une montre dont le fonctionnement repose sur un mouvement mécanique, qui se compose entre autres d’un ressort de barillet, d’un échappement, d’un organe régulateur. Elle se distingue donc de la montre à mouvement électronique qui a besoin d’une pile pour fonctionner.
Lorsque le mécanisme de remontage d’une montre repose sur les mouvements du poignet qui font tourner un rotor qui arme à son tour le ressort, la montre est dite automatique.

Le terme « automatique » sert en effet à désigner les montres qui ne nécessitent pas d’intervention de l’utilisateur pour le remontage de la montre. Lorsque le mouvement doit être manuellement remonté par la couronne, la montre est dite manuelle.

Mouvement mécanique à remontage automatique

Les calibres des montres automatiques sont très sensibles aux chocs : il ne faut pas les secouer pour les remonter. Les mouvements naturels du poignet suffisent pour que la masse oscillante remonte la montre. Même si ce système maintient un niveau d’énergie suffisant dans la montre, il est conseillé de la remonter de temps en temps.
Si la montre n’a pas été portée de puis plusieurs jours et qu’elle s’est arrêtée, il faut la remonter manuellement avant de la porter. Ici, aucun risque de « trop » remonter le mouvement, les automatiques étant équipées d’un système de sécurité qui désengage le rotor quand le resort est comprimé au maximum.

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